Jeune archéologue, Alexia est recrutée par une fondation chargée de la sauvegarde d’œuvres d’art. Elle découvre peu à peu que ses missions font également partie d’un plan destiné à lutter contre le trafic de biens culturels. Alexia se prête volontiers au jeu jusqu’à ce que celui-ci dérape. Initiée par son mentor et amant à la technique des palais de mémoire, il lui faut maintenant tenter de préserver ce qu’il a de plus cher.
Intimement liés, amour fervent et obsession de la beauté sont au cœur de ce roman. Le cheminement mental, remède à l’oubli, devient le ressort d’un affrontement sans merci.
Ses lectures d’enfance et de jeunesse ont puissamment imprégné l’imaginaire de Véronique Rabuteau. Au chatoiement d’un récit d’aventures s’ajoute une réflexion sur la mémoire, barrière, refuge et étendard du beau.