Maman, si tu voyais ma vie...
MAO
Roman de 49 300 mots, 294 200 caractères
« Ces habits de servant d’autel trop grands pour moi, ces pas tracés dans lesquels je ne suis pas rentré. »
Par petites doses d’actes pas si manqués que cela, Marco raconte une manière d’être, de ressentir, de vivre sa vie. Celle d’un ado en fureur prêt à tout, ou presque, pour goûter à la liberté ou pour goûter aux hommes.
C’est pourtant ce « presque », qu’il revêt au besoin des couleurs de la nuit, qui le guide dans sa vie d’adulte et le préserve. Si le désir peut se vendre, l’amour n’appartient qu’à lui.
Le récit sans fard, franc et tendre, d’un fils pas modèle du tout.
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