Cette encyclopédie du Savoir moderne a été réalisée sous la direction de Bernard Pottier, directeur du C.N.R.S. et professeur à Paris III (Sorbonne).
Dix chapitres principaux composent cet ouvrage :
"Les langues dans le monde",
"Phonologie et phonétique",
"La psycholinguistique",
"La grammaire générative",
"Le structuralisme",
"Linguistique et mathématique",
"Linguistique et littérature",
"Lexique et dictionnaire",
"Sémiologie",
"Image et langage".
Ils sont intégrés à un dictionnaire de 500 mots, d'"Abstraction" à "Zipf". Cet ensemble, auquel s'ajoutent notes, bibliographie, croquis et schémas, constitue l'ouvrage le plus complet et le plus précis sur la question.
Aujourd'hui, en matière de linguistique, différntes théories s'affrontent, diverses écoles s'opposent, se heurtent, se combattent, mais elles ont toutes un trait commun : elles font pruve d'une égale vigueur. Et leur recherche couvre un large secteur, depuis le plus concret, comme les tentatives de traduction automatique, jusqu'aux spéculations sur les structures de la pensée. Le langage est donc aussi, au-delà du cercle des spécialistes, du domaine de la culture générale. Mais ce n'est pas un hasard ni seulement une mode si le langage apparaît comme la discipline centrale des sciences humaines. Ce n'est pas non plus une nouveauté. La linguistique, dont les grammairiens de Port-Royal puis Jean-Jacques Rousseau se préoccupaient fort, a, depuis Ferdinand de Saussure, au tout début du XXe siècle, tenté d'acquérir un véritable statut scientifique.
"Un ouvrage encyclopédique remarquablement composé par une équipe d'universitaires" (le Nouvel Observateur). "Dans cette série de dictionnaires, voici un de ceux qui rendront le plus de services" (les Etudes). "Dictionnaire remarquablement complet sur tous les aspects de la linguistique moderne" (Guide bibliographique de linguistique française). C'est en ces termes que la presse parle de cette encyclopédie.
