Alors que les élections présidentielles battent leur plein, une maladie cocasse se développe et s’étend dans la société. Une journaliste touchée par ce phénomène, rapporte les péripéties de sa métamorphose, et ses symptômes extravagants. De quoi faire sourire jaune le lecteur, qui découvre derrière l’absurde, des remises en question fondamentales.
Paolina Biguine est devenue journaliste à l’âge tendre de 19 ans. Six ans plus tard, les souvenirs de ses reportages la hantent encore, et se mélangent à une actualité éprouvante ainsi qu’une rédaction tourmentée. « Saint-Coca » cristallise alors l’expression d’une douleur aussi personnelle que sociale. Rédigée lors d’une parenthèse lisboète, cette histoire a été écrite loin d’un fracas jugé étouffant. Un roman d’anticipation partagé entre noirceur et drôlerie, qui entraîne le lecteur dans les pas d’une jeune reporter...